mardi 11 octobre 2022

ETRETAT, Veulettes et St Aubin

 Début septembre, j'ai arpenté mes falaises préfèrées d'Etretat à St Aubin sur mer, à la recherche de lieux nouveaux.


St Aubin sur mer 38x48


La COVID de merde nous a confiné loin de la mer et c'était bien plaisant de retrouver le vent marin
, l'odeur laissée par les marées descendantes et le cri des mouettes..

Etretat 18x24


                                



St Aubin sur mer 22x30

        



Veulettes 30x40

   



Etretat 36x48

                      



Etretat 20x25


samedi 13 juillet 2019

ETRETAT juin 2019

Cela faisait longtemps que je n'avais pas "traîné mes guêtres" sur les falaises cauchoises...
La canicule écrasait Paris ce lundi soir et j'arrivai au bord de la mer sous des trombes d'eau torrentielles...
Ce furent trois jours plutôt frais, parfois embrumés, toujours venteux et enfin très fraîchement ensoleillés...




Les petites toiles rapidement transformées en cerf volant si mal attachées, palette ballottée par le vent et pinceau volant comme un javelot...
Mais toujours cet immense plaisir de mettre ses pinceaux dans la palette normande des grands aïeux !






Et toujours cette lumière éblouissante, changeante à chaque instant, accompagnée par les parfums de la marée basse et la compagnie parfois agressive des goélands..
Et quand une de leur merdes te tombe dessus de haut comme l'eau des "canadair", ça fait un méchant splash !!!



 Troisième jour.
Pour s'essayer à la "Manneporte" il faut se battre avec le fort vent de face soufflant du nord-ouest.
J'ai réussi à m'abriter un tout petit peu derrière un bosquet...
Alors, forcément, je n'ai pas la vue que j'espérais...





...Et juste avant de rentrer vers Paname...


                                               Toutes ensemble...






















dimanche 17 juin 2018

Petite marines...

Comme disent mes garçons...
"Tu es le faussaire de toi-même!"
Bah, pour se refaire la main à l'huile autant peindre le motif qu'on déjà un peu apprivoisé...






mardi 8 septembre 2015

Une journée à Bruges...


J'ai été trainer deux jours à la braderie de Lille, j'ai continué vers Bruges pour ce troisième jour...
Petite pluie fine, averses crépitantes, rafales de vent et même le soleil agrémentèrent mes quatre heures de méditation peinturlurée au béguinage.
A voir passer des touristes indifférents collés derrière un guide brandissant un pébroque, à m'interroger sur l'interêt d'avoir le nez collé sur leur micro-écran sans regarder ou lever les yeux...
Le monde est étrange...


Etretat en mai.




A l'occasion de mon passage à Paris pour tourner dans un court métrage d'Alexandre De Melas, jeune cinéaste prometteur pour qui j'ai conçu une marionnette de Leprechaun, j'ai prolongé mon périple jusqu'à la Manche.
Deux jours à peindre mes falaises préfèrées.
Lumière terriblement crue et vent du nord frais.
J'ai aussi exploré des lieux encore inconnus.
Cinq toiles de plus à ajouter à celles qui s'entassent !
Puis arrivée d'une grisaille aveuglante... j'avais déjà rangé les pinceaux, la pluie étant prévue peu après...

                                             

mardi 7 octobre 2014

L'été à peindre par-ci, par là...

Quelques jours à Oléron, sur un camping en prise directe avec la marée m'ont permis de faire quelques croquis à l'acrylique...




Il est parfois difficile de peindre le nez dans le vent plutôt frais et bousculant le chevalet et d'avoir aussi à se protèger du soleil du mois d'aout... qui heureusement réchauffe un peu.


Quelques temps après, Septembre fut aussi frais mais très ensoleillé, une petite virée du coté d'Etretat me permit de rajouter quelques éléments de plus à ma collection de vues de mes falaises préfèrées..
Tout ça sera probablement exposé du 1er au 13 décembre 2014 à Sarrebourg...


détail ...








mardi 1 octobre 2013

Bruges

Le printemps semblait vouloir arriver quand j'arrivai ce lundi là au bord de la Mer du Nord...
Mais un vent du nord continu maintenait la température au moment d'un éclatant coucher de soleil en dessous de 10 degrés.
Le mardi, le soleil semblait vouloir percer la grisaille quand je plantai mon chevalet du coté du Béguinage.
J'essuyai au passage la mauvaise humeur du ramasseur de crottin, gros et gras brailleur que je dérangeais dans son beau labeur... j'étais à plus de deux mètres de la déjection chevaline la plus proche.


                           

Ensuite, ce fut un plaisir, certes un peu frais, de bavarder avec les passants tout en peignant.
Une vieille dame me tint compagnie un long moment.
Elle s'étonnait de ne plus voir de peintres dans les rues de Bruges, quand elle était petite, elle en voyait beaucoup. Elle me confia qu'un de ceux-ci voulut la prendre comme modèle, elle rit et ajouta que sa mère n'avait pas voulu... et qu'elle y serait bien allé!
Elle resta un long moment, parlant un français impeccable... alors qu'elle avait commencé la conversation en brugeois... et si je comprends parfaitement le gantois, le vlaams des voisins m'est parfois difficile à comprendre.





Voici donc la production de ces deux jours... je ne serais jamais Monet... et heureusement il n'est pas passé par là... et je ne risque pas la comparaison.
Mais il me semble qu'il faudrait rester plus longtemps pour apprivoiser le motif et se l'approprier de mieux en mieux... comme ces falaises normandes.